Il y a une raison pour laquelle Assassin’s Creed IV est un de mes jeux préférés, au-delà même de la sensation enivrante quand on est à la barre du Jackdaw, c’est grâce à son univers et son ambiance centrés sur la piraterie. Qu’on soit à Nassau ou à La Havane, ça fleure bon le soleil, le rhum, l’aventure, ça renvoie inévitablement à Pirates des Caraïbes de Gore Verbinski.
Grand mordu de la quadrilogie (avec une préférence nette et marquée pour les deux premiers), c’est avec joie et appréhension que j’attendais Pirates des Caraïbes – La Vengeance de Salazar, sorti cette semaine dans nos vertes contrées.
Six ans se sont écoulés depuis La Fontaine de Jouvence qui a divisé les critiques, déjà un peu partagées sur Jusqu’au bout du monde, mais le plaisir de revoir Jack Sparrow au cinéma est plus fort que la crainte d’être déçu. Avis sans spoiler.
Vous devez être connecté pour poster un commentaire.