Orléans, par une nuit sombre, un individu louche se rend sur un site louche. Un site visiblement à l’abandon depuis des mois. Il faut çà et là repousser quelques araignées qui y ont élu domicile, balayer un peu, ôter la poussière qui s’est accumulée, en étant maladroitement armé d’une faible lampe torche.
Ce nettoyage de fortune le pousse toutefois vers les fusibles qu’il trouve désactivés, un rapide coup de fil à son père pour savoir comment gérer ce problème insurmontable lui permet d’avoir de l’électricité. Une chance, les ampoules fonctionnent encore, il serait bien incapable de les changer aussi.
La pièce est désormais dégagée, éclairée, il peut contempler son travail et un mot lui vient en tête en imaginant ce qui s’ouvre devant lui : renaissance.
Oui, renaissance. C’est un terme que vous pouvez également lire si vous vous rendez sur le blog d’Alex Effect. Ce bon sire, dans un élan de folie, a décidé de relancer (au moins pour une fois) son concept des TFGA, en n’employant que ce mot pour tout thème.
La flamme est ravivée, et c’est avec humilité et joie que je vais participer à cette dernière édition. BEHOLD, MY TFGA.
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