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Tiens, le 20 est arrivé, Alex a donc lâché son TFGA mensuel. Le thème est en diamétrale opposition au TFGA n° 13.

« Le changement, c’est maintenant ».

Franchement.

Y a de quoi se la prendre et se la mordre, quand même.

C’est donc au terme de quelques heures de réflexion et après avoir dit que je passerai mon tour que je vous présente mon TFGA. Je suis un homme à l’avis inamovible.

Bonne lecture!

Numéro 5 – Le réveil de Nintendo?

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Allez, je commence par un gentil troll. Afin de faire la transition avec le TFGA précédent (c’était mieux avant), je me dis qu’il faut entamer celui-ci avec une idée mi-figue, mi-raisin. Je ne surprendrai personne si je vous confie que je trouve Nintendo en perte de vitesse.

Je le dis à qui veut l’entendre et ça me désole de voir que les choix faits par la boîte de Mario ne suivent pas du tout mes conseils. Oui, parce que je suis une voix importante du domaine, voyons.

Tenez, au-delà de la Wii U qui n’aurait jamais du s’appeler comme ça pour éviter toute confusion, du Zelda qui devrait aller avec qui a plutôt l’air parti pour être une exclu NX, il y a l’énorme routage de tronche connu sous le nom de New 3DS.

Vendue comme une 3DS boostée aux hormones, avec un portage de Xenoblade il y a un an, la New 3DS peut fièrement arborer un parc de jeux exclusifs de… 1. Et oui, depuis Xenoblade, rien. Néant. Quedalle.

Mais je m’égare, je voulais initialement parler de la 3DS qui pourrait être un rouleau compresseur portable (il y a une place à prendre, la Vita a déposé les armes) si elle proposait sur sa console virtuelle les hits passés de Nintendo. Le catalogue de Nintendo depuis la Nes jusqu’à la 64 dispose de superbes perles qui pourraient être proposées et ça déchirerait du Bowser.

Et bien, figurez-vous qu’on a presque été entendu. Les Pokemon Rouge, Bleu et Jaune seront disponibles en février prochain. ENFIN.

Plus qu’à espérer que ça ne soient que les premiers d’une longue série.

Numéro 4 – Kingdom Hearts.

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Le principe même de Kingdom Hearts est de proposer un voyage entre différents mondes (majoritairement tirés de l’univers Disney). Par conséquent, le changement est constant.

Changement dans l’ambiance (Le Noël de M. Jack côtoie Hercule), changement dans le gameplay (inoubliable monde de la Petite Sirène qui reste une énorme plaie dans le fondement, tout de même) et, surtout dans le premier, changement de Keyblade, arme du héros qui se voit modifiée en fonction du porte-clef qu’on y attache, pour rappeler tel ou tel personnage/monde.

Au-delà de ça, les personnage peuvent être soumis à des changements bien particuliers : devenir Sans-Coeur, et éventuellement, Simili. Je ne vais pas m’aventurer dans l’explication de ces statuts, les vrais savent et je conseille par conséquent aux autres de jouer à la saga!

Bon, et puis entre chaque monde, on a droit à quelques séquences de shoot’em-up, parce que le changement, ça se mérite.

…Mais j’espère ne pas revoir ces passages du Malin dans Kingdom Hearts 3, je l’avoue.

Numéro 3 – Pokémon. 

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Quelle que soit l’itération de la saga, le changement fait partie de la vie de tout dresseur qui veut avancer un peu.

Alors, évidemment, les vrais de vrais gardent leur Pikachu tout faiblard (spéciale dédicace à Oncle Sam et Tiphanie), plutôt qu’un Raichu tout moche. Mais c’est l’exception qui confirme une règle générale : le pokémon qui évolue blaste plus que sa version précédente.

On pourra prendre pour exemple l’inénarrable Carapuce qui passe par plusieurs stades et finit par devenir un magnifique Tortank qui déchire tout.

Avec Pokemon X et Y, une nouvelle fonctionnalité est apparue, réservée à certains pokémons élus : la mega-évolution.

Et là, mes petits amis, ça déménage sévère du Magicarpe.

A chaque combat : le changement c’est maintenant. Mon Tortank devient méga-Tortank, avec moult canons, armure renforcé et promesse de gros pétage de gueule pour l’adversaire. Et le dresseur vit que c’était bon.

Numéro 2 – La dématérialisation.

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Un des gros débats du XXIe siècle, plus que le mariage pour tous (c’est dire), reste incontestablement tout ce qui touche à la dématérialisation et au marché qui en découle.

Steam est évidemment un nom qui revient dans ce genre de conversation qui voient les frères gamers se déchirer entre ceux qui veulent leurs boîboîtes (et revendre leur jeu) et ceux qui ont pigé qu’il n’y a déjà plus de notices dans les boîtes et plus de place sur les étagères, donc autant acheter les jeux dématérialisés.

Ceux qui suivent savent d’ores et déjà que je suis joueur Mac, j’ai toutefois le bonheur d’accéder à Steam et j’ai tout de même 50 jeux dessus, ça n’est pas si mal quand on y songe, d’autant que je n’aurais clairement pas la place pour coller autant de boîtes chez moi.

De la même façon, la dématérialisation permet de retrouver d’anciens titres de mon enfance sur des consoles plus récentes, un Sonic 2 sur PS3, un Super Mario Bros sur 3DS, etc.

Une « nouveauté » (ça a quand même quelques années maintenant) plus qu’appréciable qui remporte mon soutien quasi total. Il faudrait permettre la revente de nos possessions. Franchement, j’ai Mini Ninjas, SSX et inFamous 2 et j’aimerais bien revenir en arrière pour me péter la gueule avant achat. Steam a fait un pas dans ce sens en permettant un remboursement sous certaines conditions, on y croit.

De la même façon, il reste dommage que les magasins en fassent les frais, mais le compte en banque a ses raisons que la raison comprend parfaitement bien, hélas.

Numéro 1 – Les consoles.

Le joueur est condamné à se mettre régulièrement à jour en matière de système vidéoludique. Cela permet d’accéder à la quintessence du changement : les graphismes, le gameplay, les musiques, le tout est censé passé à un autre niveau.

Mon statut n’a pas changé, ma console de salon la plus récente reste une Playstation 3 achetée en 2011. Triste réalité, la bête ne sert désormais plus qu’à faire tourner des remasters de l’époque dorée de sa grande soeur.

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Il est temps de passer à la génération actuelle, aussi annonce-je solennellement que mon objectif 2016 sera bel et bien de mettre mes paluches sur une Playstation 4 et accéder enfin au Saint Graal avec des jeux originaux : God of War 3, The Last of Us, GTA V, Tomb Raider 1, Assassin’s Creed 4 – Black Flag, Uncharted et autre Sleeping Dogs.

J’ai hâte. Quel rêve.